Gare au pollen : les centrales solaires peuvent aussi souffrir d'allergies et faire tousser leur production

Le printemps arrive, accompagné d’un phénomène craint par de nombreux producteurs photovoltaïques : la pollinisation. « C’est un vrai problème récurrent que les producteurs souhaitent résoudre » affirme Emilio Gonzalez, responsable commercial chez SUNiBrainâ„¢. « Les pertes de production sont très importantes, et l’encrassement résiduel est long et difficile à éliminer », ajoute-t-il.

Un problème auquel SUNiBrainâ„¢ a décidé de remédier dès le début du mois de mars. La solution requiert de prendre en compte plusieurs facteurs déterminants, notamment la localisation géographique, le type de pollen environnant et la période de l’année. Le calculateur SUNiBrainâ„¢ est désormais capable d’intégrer ces informations afin d’apporter une solution sur mesure et d’arroser les panneaux pendant les périodes concernées. «Comme souvent la prévention vaut mieux que la réaction ! C’est pourquoi il faut éviter que le pollen s’accroche et colle aux panneaux photovoltaïques », réagit Nicolas Cristi, directeur de SUNiBrainâ„¢.

« Du fait des hivers qui ont tendance à être plus doux, nous observons une claire tendance à l’allongement des périodes de pollinisation et l’augmentation de l’intensité de ces épisodes. » nous confie Charlotte Sindt, Directrice du RNSA (Réseau National de la Surveillance Aérobiologique). Joël Durrey, un client SUNiBrainâ„¢ constate qu’il y a toujours du pollen, surtout au printemps. Ceci constitue une petite pellicule qui empêche le fonctionnement optimal des panneaux. Le véritable atout du calculateur photovoltaïque réside dans sa capacité à considérer de nouveaux paramètres dans sa stratégie d’optimisation photovoltaïque. Ce caractère évolutif du dispositif permet l’intégration de nombreuses pistes d’amélioration à explorer.
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