Le site pilote de Martillac d’Exosun produit ses premiers kWh « CO2-free »

Le parc photovoltaïque de Martillac, premier parc solaire français équipé de trackers et mis en service en septembre 2008, fête en ce mois de décembre 2011 ses 3 ans et 3 mois. 3 ans et 3 mois, c’était le temps nécessaire au parc solaire pour compenser, grâce à sa production d’électricité verte, l’énergie dépensée et le CO2 dégagé pour la fabrication de ses composants, son installation, sa maintenance et son démantèlement. Ce site, d’une puissance de 100 kWc, génère annuellement une quantité d’électricité équivalente aux besoins (hors chauffage) d’une cinquantaine de foyers.

Ainsi, depuis sa mise en service, le parc a produit avec succès près de 500 MWh (soit une production moyenne annuelle d’environ 1550 kWh/kWc) et a donc permis d’éviter que 288 tonnes de CO2 soient relâchées dans l’atmosphère, soit l’équivalent de ce que dégagent 160 voitures de taille moyenne parcourant 15 000 km chaque année. Au bout de vingt ans, ce seront donc près de 3000 MWh qui auront été générés, et 1800 tonnes de CO2 qui auront été économisées.

Le site de Martillac est équipé de 126 Exotrack 2 axes, suiveurs solaires à deux axes conçus et brevetés par Exosun. Ces trackers ont pour fonction de suivre la course du soleil afin d’augmenter de 30% en moyenne la production électrique des modules photovoltaïques par rapport à une installation fixe. Autrement dit, pour produire une même quantité d’électricité un parc équipé de trackers nécessitera 30% de panneaux photovoltaïques de moins qu’une installation fixe, réduisant par conséquent la consommation d’énergie et les rejets de CO2 inhérents à leur fabrication. Un calcul du bilan énergétique et carbone est réalisé pour chaque parc solaire installé par Exosun, après une analyse fine de son cycle de vie depuis sa conception jusqu’à son démantèlement. Soucieuse de réduire son impact sur l’environnement,
Exosun est certifiée ISO 14001 et ISO 9001.
Plus d’infos…

Cet article est publié dans Actualités. Ajouter aux favoris.

Les commentaires sont fermés