Lendsphore tire son épingle du jeu sur le marché dynamique du financement participatif des EnR

Le baromètre 2018 du financement participatif vient d’être publié, avec une bonne nouvelle : les investissements dédiés à la transition écologique ont doublé en un an ! Une croissance qui ne devrait pas ralentir dans le contexte actuel des appels d’offres pour le solaire et l’éolien. Lendosphere représente 47% du marché en 2018.

Les épargnants français sont de plus en plus nombreux à investir dans la transition écologique, et plus spécifiquement dans les énergies renouvelables grâce au financement participatif. Les montants investis ont doublé en un an, passant de 20,5 millions d’euros (source : Greenunivers) à 40,1 millions d’euros (source Baromètre Financement Participatif France et KPMG), après avoir connu une croissance de 78% entre 2016 et 2017.

« C’est un très bon signal en ces temps de questionnements sur le financement de la transition énergétique, se félicite Laure Verhaeghe, directrice générale de Lendosphere. Ces montants commencent à devenir importants pour le secteur, et leur croissance prouve l’appétence des épargnants français pour ces sujets. » Le financement participatif dédié aux énergies renouvelables répond à de nombreuses attentes des épargnants : transparence (possibilité de prêter aux projets que l’on choisit sur les plateformes), proximité (attention particulière portée aux riverains des projets mis en ligne), attractivité (taux bruts annuels servis entre 3% et 7%) et sens avec l’assurance que l’épargne soit investie dans des projets positifs pour l’environnement.

« Nous croyons au développement certain de ce secteur dans les mois et les années à venir, car nous devenons une source de financement à part entière pour les développeurs d’énergie renouvelable et les appels d’offres ont ouvert un marché de plusieurs centaines de millions d’euros d’ici 2021. Leader du secteur depuis 2016, Lendosphere représente 47% du marché en 2018 et met en place des outils pour consolider et poursuivre son leadership », conclut Laure Verhaeghe.
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