Double actualités pour le SER entre colloque du 4 février et formation à l'export du 17 mars

Depuis l’origine, les colloques du SER s’emparent d’un sujet stratégique pour l’avenir de l’ensemble du secteur des énergies renouvelables et le mettent en débat. Intitulée Poursuivre l’Accord de Paris et réinventer l’énergie, la prochaine édition se tiendra à la Maison de l’Unesco le jeudi 4 février 2016 deux mois après la conférence Paris Climat 2015, et à quelques mois de la COP22. Le colloque placé sous le haut patronage de François Hollande s’articulera autour de quatre tables rondes :
De Paris à Marrakech ; la marche des énergies renouvelables pour le climat
Energie ; du global au local, l’innovation au cÅ“ur des enjeux
L’Europe et la France toujours à la pointe ?
France ; accélérer la transition énergétique, redonner du souffle à notre économie et valoriser nos territoires

Parmi les invités de marque attendus, on retrouvera Robert C.Amstrong, directeur MIT energy Initiative, François Brottes, président RTE, Dominique Desjeux, sociologue et anthropologue, professeur d’anthropologie sociale et culturelle à l’Université Paris V Sorbonne, Laurent michel, directeur de l’Energie et du Climat, Raphaël Trotignon, responsable de la recherche sur les prix et les marchés du carbone, Université Paris Dauphine etc.

Par ailleurs, à l’orée du printemps, le jeudi 17 mars 2016 à Paris, le SER, en partenariat avec la BPI France, la COFACE, Business France et la Direction Générale du Trésor, propose aux acteurs des renouvelables de participer à une formation professionnelle dense et concrète dédiée à ces outils d’accompagnement à l’export. A travers l’intervention d’experts de ces organismes, cette formation permettra de mieux connaître les divers outils de financements et garanties proposés, d’être informés sur les évolutions de ces mécanismes, sur la méthodologie de constitution et le traitement des dossiers pour vous permettre d’optimiser leur élaboration et de maximiser les chances de réussite des demandes.

Parmi les principaux acteurs institutionnels en charge des problématiques de l’export et de l’international se trouve en premier lieu l’État, au travers de ses nombreuses administrations centrales ou agences en charge de questions internationales, Business France, la COFACE, la DG Tresor, BPI France… Ces organismes allouent des aides, des financements et des garanties à l’export souvent méconnus des entreprises des filières EnR qui pourraient en bénéficier. Les dossiers sont perçus comme difficiles et longs à structurer avec des chances de succès limitées.
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