Bonne année 2021, pour une décennie solaire à infléchir les effets de l’Anthropocène

« Quand le désert avance, C’est la vie qui s’en va…, Et c’est notre souffrance Qui coule entre nos doigts, Dans ces dunes immenses, Qui donc y survivra? » La chanson d’Azima, Å“uvre de Michel Berger, interprétée par France Gall à la fin des années 80, est plus que jamais d’actualité.  Voilà donc plus de trente ans maintenant que l’humanité joue à se faire peur. Il y a bien eu quelques piqûres de rappel au fil du temps qui passe. La plus emblématique n’est autre que la saillie du président Chirac restée dans l’histoire, le 2 septembre 2002 à Johannesburg en Afrique du Sud : « Notre maison brûle et nous regardons ailleurs » en ouverture de son discours devant l’assemblée plénière du quatrième sommet de la Terre.

 

Nous voici donc de plein pied entrés dans l’ère de l’Anthropocène, cette nouvelle époque géologique qui se caractérise par l’avènement des hommes comme principale force de changement sur Terre, surpassant les forces géophysiques. C’est l’âge des humains ! Celui d’un désordre planétaire inédit. D’une guerre ! Et l’inertie de ces changements est telle, que le point de non retour semble avoir été d’ores et déjà dépassé. Pour preuve. Malgré la pandémie mondiale de la Covid-19 qui a franchement ralenti l’activité industrielle et économique avec des PIB en berne et des pourcentages de décroissance à deux chiffres, eh bien, le croyez-vous, l’année 2020 a été la plus chaude jamais enregistrée depuis 1900, depuis que les relevés existent, c’est à dire depuis 120 ans. “La température annuelle sur l’ensemble de l’année est de 14°C”, explique Christine Berne climatologue à Météo France, “soit un dépassement de la normale de 1.5°C”. Autant dire que même en limitant drastiquement l’activité humaine, les changements climatiques seront difficiles à arrêter. Et il n’y aura aucun vaccin pour ce faire.

 

La crise sanitaire de 2020 aura-t-elle été celle de la prise de conscience, où la biodiversité contrariée a eu des répercussions à l’échelle planétaire ? Il ne peut en être autrement. Une chose est certaine, la crise a été et sera un fantastique accélérateur des tendances en cours vers un verdissement des activités et un respect accru de l’environnement. Les entreprises recrutent à tour de bras pour leur politique RSE, les particuliers se mettent au bio et au vert, les véhicules électriques s’arrachent. Et les plans de relance économiques des Etats du monde seront axés sur la transition énergétique ou ne seront pas. Et dans tout ça, l’énergie solaire est devenue en quelques années le facteur X de ce changement. Elle est l’énergie qui peut à moindre coût et en toute simplicité très rapidement s’imposer dans toute la planète pour retrouver les équilibres. Et modestement, et un peu comme le colibri, le bureau d’études Tecsol peut vous aider à accomplir votre part dans cet homérique combat, par son expertise de près de quarante ans, son expérience du terrain, ses formations reconnues et plébiscitées. En cette année 2021 et pus que jamais, l’heure est à l’énergie solaire, une énergie décarbonnée à la cote d’amour insoupçonnée. L’énergie solaire, l’une des solutions planétaires aux changements climatiques. Et l’on finit comme l’on a commencé. Dans une épanadiplose de l’urgence climatique : « Dis-leur que la nuit tombe, Sur cette affreuse urgence, Et que c’est sur nos tombes, Que le désert avance… ».

 

Toute l’équipe du bureau d’études Tecsol vous présente ses  « Meilleurs vœux pour cette nouvelle année 2021, celle d’un nouveau monde, un monde solaire… »

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